AAPPMA DU BREUCHIN ET DE LA HAUTE LANTERNE

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Information aux pêcheur - Clinostomum complanatum


Le signalement d’un pêcheur nous permet de constater la présence en Haute-Saône de cas de parasitisme par un ver nommé Clinostomum complanatum. Deux individus de perches communes (seule espèce susceptible d’être infestée) capturés ce printemps au bassin de Chassey-lès-Scey ont été assurément constatés parasités. Cette maladie parasitaire a été pour la première fois documentée dans le Jura en 2019 puis dans le Doubs en 2020. Si elle ne tue pas forcément les poissons touchés, elle peut toutefois avoir des répercussions sur la santé humaine dans le cas d’ingestion de poissons infestés mal cuits ou pire, crus. En effet les vers sont susceptibles de s’installer au niveau de la gorge et nécessiter une intervention chirurgicale en matière de traitement.
Les perches parasitées sont souvent repérables, les parasites formant de petits ”kystes” ressemblant à des grains de riz, visibles sous la peau des poissons.
Voici quelques liens internet si vous souhaitez compléter votre information sur ce sujet.C'est à la fois une mise en garde et un appel à témoignage: la fédération de pêche du Doubs prévient ses adhérents de la présence dans le département d'
un parasite qui infeste la perche commune
, poisson que l'on trouve couramment dans les eaux franc-comtoises. Le poisson porteur du parasite ne doit pas être consommé cru, car dans ce cas
le parasite risque de se transmettre à l'homme
, avec un risque pour la santé du consommateur. La fédération demande à ses adhérents d'examiner ses prises et de signaler toute présence de poisson malade.


Les pêcheurs craignent que la pêche au vif soit bientôt interdite en France. Une proposition de loi a même été déposée en ce sens.

Les pêcheurs craignent que la pêche au vif soit bientôt interdite en France. Une proposition de loi a même été déposée en ce sens.
La pêche de loisir risque-t-elle d'être mise en danger ? C'est ce que craignent actuellement de nombreux pêcheurs en réaction à plusieurs nouveautés dans la politique française. L’association Paris animaux zoopolis (PAZ), une organisation de défense du bien-être animal, lutte depuis quelques années contre la pêche au vif, une pratique qui consiste à accrocher un poisson vivant au bout d'un hameçon afin de s'en servir comme appât.

Or, cette association considère que cette méthode de pêche est particulièrement cruelle. La PAZ mène ainsi un intense travail de convictions des élus pour l'interdire, la jugeant comme étant une cause de
souffrance animale
intolérable. Et si ce combat n'a pas affecté les pêcheurs jusqu'à présent, de récents changements semblent confirmer que le travail de la PAZ commence à porter ses fruits.

Une proposition de loi visant à interdire la pêche au vif inquiète les pêcheurs
La grande nouveauté en matière de pêche de loisir date de novembre 2023. Ce mois-ci, un groupe de députés de gauche a en effet déposé une proposition de loi à l'Assemblée nationale. Son objet : l'interdiction de la pêche au vif en France. Selon les élus à l'origine de ce texte, plusieurs pays européens ont déjà banni cette pratique sur leur territoire, notamment l'Allemagne, la Suisse et l'Irlande.

Or, en France, elle fait partie des pratiques les plus couramment employées par les pêcheurs de loisir. Près de la moitié d'entre eux l'emploierait afin d'attraper des poissons. Face à cette proposition de loi, la Fédération nationale de la pêche en France (FNPF) a ainsi vivement réagit, défendant la liberté des pêcheurs. Selon cette organisation, ils contribuent eux-mêmes au bien-être animal en préservant les cours d'eau français.
La Ville de Rennes veut interdire la pêche sur son territoire
Or, cet argumentaire de la Fédération nationale de la pêche en France (FNPF) n'a pas convaincu tout le monde. D'ailleurs, la proposition de loi de novembre 2023 n'est pas le seul projet politique visant à limiter la pêche au vif. Le 15 mai 2023, la Ville de Rennes a adopté une charte sur la condition des animaux. Dans ce texte, la commune s'engage à "étendre l’interdiction de la pêche à l’ensemble des étangs d’Apigné". Or, il s'agit du seul lieu où elle est autorisée dans les environs.

La charte adoptée par la Ville de Rennes ne fait pas mention de la souffrance animale. Elle précise simplement que cette pratique contribue à polluer les eaux, en raison des appâts qui finissent par s'accumuler dans les cours d'eaux. En outre, des élus ont expliqué préférer que les plans d'eaux de la commune servent à la baignade plutôt qu'aux pêcheurs. Et ces derniers craignent ainsi que cette initiative finisse par s'étendre à toute la France.
Une méthode de pêche jugée cruelle
Le projet de la Ville de Rennes est, pour le moment, le plus abouti quant à l'interdiction de la pêche. Son maire a d'ailleurs assuré que la charte adoptée en mai n'est qu'un début. Un arrêté devrait bientôt être adopté pour la mettre en application. Au niveau national, il n'est pour l'instant pas question de s'attaquer à la pratique de la pêche de loisir en général.
La proposition de loi déposée en novembre dernier a l'Assemblée nationale ne vise d'ailleurs que la pêche au vif. Ses défenseurs mettent notamment en avant plusieurs études scientifiques qui ont démontré que les poissons ressentent de la douleur. Les utiliser comme appât alors qu'ils sont encore vivants est ainsi une méthode qu'ils jugent particulièrement cruelle.



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